Après, près de 2 ans d'activité sportive très faible, merci le boulot !!!!
Je reprends doucement l'escalade. Difficile, mais pas désespéré. Je me suis même fixé comme "challenge" de (re)faire pour mes 50 ans du 7A.
Niveau max que j'avais avant mon interruption et qui après quelques essais pour m'étalonner semble accessible (cela va être dur, mais il y a un petit espoir)
Deux voies en cible, toutes les deux au Kronthal :
- l'école des mines et l'école buissonnière
Les mauvaises langues diront que c'est une crise de nostalgie et qu'à la porte de la cinquantaine, je rêve d'un retour sur les bancs du lycée. Cela, je vous l'assure, est fortuit.
A suivre ...
vendredi 22 juin 2012
vendredi 24 septembre 2010
Un trop long silence
ESCALADE ALSACE
Voilà plus de 6 mois que rien n'a bougé sur ce blog, de la à dire qu'il ne c'est rien passé dans notre communauté de grimpeur serait un raccourci trop rapide.
Certes pas d'exploration de site ou de reportage à faire... quoique la redécouverte de Buoux cet été, a été un grand moment de bonheur. Il s'en fallut de peu pour que je revienne avec "Wall Street" (7a) inscrit à mon tableau de chasse : beau mur verticale sur trous et réglettes avec un final d'enfer (ne vous trompez pas de main ...).
Une poursuite de l'exploration systématique du Kronthal en Alsace et maintenant que nous avons réalisées ou tentées toutes les voies en 6, nous essayons d'écumer le 7A.
Si SF a visiblement muté cet été ce n'est pas mon cas mais les voies comme Terre de Sienne ; L'école buissonnière ou l'école des mines commencent à tomber.
Le fait le plus étonnant (au vrai sens du terme) et sans doute la tentative réalisée dans un 7C . Waaaaouh, le grand écart par rapport à notre niveau. Le hasard, mais le hasard fait bien les choses.
Cela fait longtemps que lorsque nous allons au Kronthal, nous ne prenons plus le topo avec nous, peut être une forme de snobisme.
L'autre jour, lorsque nous avons décidé de réessayer les nouvelles voies équipées au fond, nous avons repéré une voie dans la quelle les dégaines étaient posées.
Je savais bien que dans ce secteur à part des 8A il n'y avait à ma connaissance que des 7c... mais bon l'invitation était trop tentante. SF, au sommet de sa forme, sur une provocation à deux balles, pris le taureau par les cornes et s'engagea dans la dite voie.
A notre grande surprise, il arriva au relais sans trop batailler. Je ne dis pas que cela fut facile, mais le relais fût clippé rapidement et nous avions connu des essais plus compliqués sur des voies plus faciles.
A mon tour de tenter l'aventure (en moulinette), me concernant le combat fut plus âpre mais j'atteignis le relais sans trop de mal non plus.
Notre verdict instinctif - étalonné à notre niveau max de 7A - gros 7B.
Quelle ne fut pas notre surprise de constater, sur le topo, que notre essai était un 7C " Acmée Juvenile".
7C controversé certes, controverse que je suis prêt à alimenter compte tenu de la "facilité" avec la quelle nous nous sommes retrouvé au relai sachant que SF ou moi n'avons quasiment pas de 7B au compteur.
Cela dit 7C ou pas, le simple fait d'être arrivé en haut et une source de satisfaction très intense pour moi.
Intense au point d'avoir envie de poster un nouveau message sur ce blog endormie.
samedi 3 avril 2010
Sortir de l'hiver
L'hiver a été long, très long, trop long.
Je ne sais pas comment vous avez géré ce tunnel mais moi j'en sors laminé.
Aucune sortie en falaise depuis Novembre, une motivation "résineuse" en chute libre et un agenda de vie qui déborde...
Bref après une fin d'année 2009 gonflé à bloc, u début d'année vidée à fond.
Après un mois de Février et Mars en dilettante le reprise, hier dans les toits de Roc en Stock fut sévère ...
Non de Dieu mais ou ai je mis mes bras ?
J'en profite donc pour lancer un appel : Si quelqu'un a trouvé une paire d'avant bras, la cinquantaine, normalement résistante à l'acide lactique quelque part entre Strasbourg et Obernai merci de me les rapporter .
dimanche 1 novembre 2009
Le chateau de la roche - Bellefosse
ESCALADE ALSACE
"Le château se dresse sur une crête rocheuse à 820 mètres d’altitude au Ban-de-la-Roche, au sud de Bellefosse, séparé de la montagne par une large faille.
Le château a probablement été fondé par les sires de Stein (La Roche), qui en sont les châtelains au XIIème siècle. Ce sont des ministériels de l’abbaye de Sainte-Odile.
En 1180 est cité un Dietrich de la Roche. A partir de 1284, le site est détenu par la famille von Rathsamhausen zum Stein, une famille noble d’origine ministérielle. Au XVème siècle, ses membres deviennent de véritables chevaliers-brigands, en particulier Jerotheus dit le Jeune, associé à Wecker de Linange, ce qui amène l’évêque de Strasbourg et le duc de Lorraine, probablement associés à d’autres puissances comme la ville de Strasbourg, le margrave de Bade et le sire de Lichtenberg, à assiéger pendant huit jours et à démanteler le château conquis grâce à l’emploi massif d’armes à feu en 1469. La tradition orale bruchoise a conservé le souvenir de la canonnade qui ruina le château. Bien que couvert de dettes, Jerotheus demeure encore en 1480, possesseur de la moitié du château, et entreprend une tentative de reconstruction qui se solde par un échec. Désormais, le château est définitivement en ruine, tandis que les deux compères s’engagent sous la bannière des ducs de Lorraine. Jerotheus a donné naissance à la légende d’un grand chien noir qui serait son âme.
L’étroitesse du rocher a considérablement réduit le développement architectural du château : il ne comporte qu’un petit logis flanqué d’un donjon assez vaste en blocs de grès rose du début du XIIIème siècle. Au pied du rocher, on peut encore déceler les vestiges d’un second bâtiment. La vaste basse cour est protégée par une tour de flanquement. Il en subsiste des vestiges, ainsi que des fragments de courtine."
Un nouveau topo est toujours source de découvertes et de surprises ; le dernier - dont je vous recommande l'acquisition- n'a pas faillit.
Il y a quelques années, j'avais exploré un site qui m'était proche de par mon histoire personnel.
Site magnifique mais ou seules quelques voies sur vieux pitons et vielles plaquettes existaient.
Cela ne m'avait pas fais reculer et j'y fis quelques voies de très grandes classes quelqu'en fût la cotation. Tout y était bon et tous se méritait ; même le 5b était exigent (il faut dire que les vieux pitons rouillés constituaient une bonne incitation à la concentration).
Je gardais également un souvenir exceptionnel de deux voies particulièrement belles mais particulièrement difficiles que je ne réussis pas à gravir....
Petite particularité nous parlons encore de granite au pays du grès.
Mais avant d'aller plus loin, un peu d'histoire :
Extrait du livre « Châteaux d’Alsace de villes en villages »Bernard Vogler – Bernard J NaegelenEd.Oberlin
"Le château se dresse sur une crête rocheuse à 820 mètres d’altitude au Ban-de-la-Roche, au sud de Bellefosse, séparé de la montagne par une large faille.
Le château a probablement été fondé par les sires de Stein (La Roche), qui en sont les châtelains au XIIème siècle. Ce sont des ministériels de l’abbaye de Sainte-Odile.
En 1180 est cité un Dietrich de la Roche. A partir de 1284, le site est détenu par la famille von Rathsamhausen zum Stein, une famille noble d’origine ministérielle. Au XVème siècle, ses membres deviennent de véritables chevaliers-brigands, en particulier Jerotheus dit le Jeune, associé à Wecker de Linange, ce qui amène l’évêque de Strasbourg et le duc de Lorraine, probablement associés à d’autres puissances comme la ville de Strasbourg, le margrave de Bade et le sire de Lichtenberg, à assiéger pendant huit jours et à démanteler le château conquis grâce à l’emploi massif d’armes à feu en 1469. La tradition orale bruchoise a conservé le souvenir de la canonnade qui ruina le château. Bien que couvert de dettes, Jerotheus demeure encore en 1480, possesseur de la moitié du château, et entreprend une tentative de reconstruction qui se solde par un échec. Désormais, le château est définitivement en ruine, tandis que les deux compères s’engagent sous la bannière des ducs de Lorraine. Jerotheus a donné naissance à la légende d’un grand chien noir qui serait son âme.
L’étroitesse du rocher a considérablement réduit le développement architectural du château : il ne comporte qu’un petit logis flanqué d’un donjon assez vaste en blocs de grès rose du début du XIIIème siècle. Au pied du rocher, on peut encore déceler les vestiges d’un second bâtiment. La vaste basse cour est protégée par une tour de flanquement. Il en subsiste des vestiges, ainsi que des fragments de courtine."
Durant la guerre de trente près de 2 siècles plus tard, Bellefosse fut la seule commune épargnée par les massacres qui vidèrent littéralement de leurs habitants l'ensemble des villages voisins (Belmont, Waldersbach ...)
Quel rapport avec le Chateau de la roche et l'escalade ? J'y viens.
L'ensemble de la région fut re peupler par les 5 familles habitants Bellefosse et par de nombreux immigrants venants en grande majorité de Suisse - protestantisme oblige -.
C'est ainsi que des familles parmi tant d'autres telles que Dolter, Bingelli et Scheppler vinrent s'installer dans la région.
Nous y voilà donc, c'est de lointains descendants de ces immigrants qui équipèrent et gravirent les 2 voies majeures de ce site : Thierry et Denis Scheppler et en 1981 s'il vous plait ; sachant que nous parlons d'un 7A et d'un 7B qui à cette date là ne devaient pas être légion dans la région.
Retour en 2009 et à la surprise du nouveau topo : le site a été entièrement ré-équipé et quelques voies supplémentaires ont été créées.
MAGIQUE !
Voilà 2 objectifs majeurs me concernant pour l'année qui vient et qui représentent un sacré challenge personnel :
- le 7A "spiderman" est très soutenu et il va falloir que je travaille beaucoup en volume pour en venir à bout même si intrinsèquement les mouvements sont faisables
- le 7B "enfer digital" sera un gros morceau et je ne suis pas certains que c'est le choix le plus simple pour mon premier "vrai" 7B ...
à suivre...
mercredi 9 septembre 2009
La bénédiction de l'écureuil
ESCALADE ALSACE NEUNTELSTEIN
Retour vers l'obsession du moment : Le mur (7A) au Neuntelstein.
Voilà la cinquième séance consécutive que je consacre exclusivement à cette voie. La certitude ancrée au fond de moi que je peux réussir cette voie que je trouve très exigeante.
J'avais déjà l'espoir (la certitude) -douché- lors de ma précédente tentative Lundi.
J'y suis donc retourné ce jour, avec la ferme envie de faire la croix au premier essai.
Il faut dire que je la connais par coeur ; il suffit de fermer les yeux pour que je visualise toutes les prises, je vois tous les mouvements et sans problème je me vois au sommet - victorieux- .
Et là, après quelques minutes de concentration, je m'élance et ... échoue au crux. GASP !
Quelques secondes pour me vider la tête et hop c'est repartit ..... RE GASP !
Je m'installe au pied de la voie, assis immobile, ruminant mes échecs et je dois l'avouer très démoralisé.
C'est à ce moment là que je l'ai vu. D'abord attiré par des craquements, puis par une forme qui bouge : un magnifique petit écureuil roux qui manifestement ne m'a pas vu.
Je me garde bien de bouger et le voilà qui, suivant sa route, arrive à moins d'un mètre de moi. Il m'aperçois et me regarde fixement sans bouger.
Etrange face à face ou aucun des deux protagonistes n'osent faire un mouvement.
Au bout de quelques secondes il se décide à avancer en me contournant, pas bien loin, et saute sur un arbre.
Il s'arrête comme pour vérifier que je le regarde, puis saute sur une branche, y grimpe à toute allure, saute sur un deuxième et en descente maintenant, me lance un dernier regard qui semble me dire : " tu vois c'est pas difficile, ré-essaye".
Vous savez quoi ? dans la foulée j'ai fais la croix
Retour vers l'obsession du moment : Le mur (7A) au Neuntelstein.
Voilà la cinquième séance consécutive que je consacre exclusivement à cette voie. La certitude ancrée au fond de moi que je peux réussir cette voie que je trouve très exigeante.
J'avais déjà l'espoir (la certitude) -douché- lors de ma précédente tentative Lundi.
J'y suis donc retourné ce jour, avec la ferme envie de faire la croix au premier essai.
Il faut dire que je la connais par coeur ; il suffit de fermer les yeux pour que je visualise toutes les prises, je vois tous les mouvements et sans problème je me vois au sommet - victorieux- .
Et là, après quelques minutes de concentration, je m'élance et ... échoue au crux. GASP !
Quelques secondes pour me vider la tête et hop c'est repartit ..... RE GASP !
Je m'installe au pied de la voie, assis immobile, ruminant mes échecs et je dois l'avouer très démoralisé.
C'est à ce moment là que je l'ai vu. D'abord attiré par des craquements, puis par une forme qui bouge : un magnifique petit écureuil roux qui manifestement ne m'a pas vu.
Je me garde bien de bouger et le voilà qui, suivant sa route, arrive à moins d'un mètre de moi. Il m'aperçois et me regarde fixement sans bouger.
Etrange face à face ou aucun des deux protagonistes n'osent faire un mouvement.
Au bout de quelques secondes il se décide à avancer en me contournant, pas bien loin, et saute sur un arbre.
Il s'arrête comme pour vérifier que je le regarde, puis saute sur une branche, y grimpe à toute allure, saute sur un deuxième et en descente maintenant, me lance un dernier regard qui semble me dire : " tu vois c'est pas difficile, ré-essaye".
Vous savez quoi ? dans la foulée j'ai fais la croix
lundi 7 septembre 2009
Le Neuntelstein part 1
Pour les grimpeurs de la région, inutile de présenter le Neuntelstein ; quoique pour les plus jeunes, élevés dans le culte de la difficulté et des gros dévers, ce site ne leurs est peut être pas aussi familier que cela.
Et pourtant, ils y trouveraient sans doute de quoi tester leurs muscles tous neufs directement sortie du pan même si aucune voie ne dépasse le 7B.
Un peu d'histoire, car elle mérite d'être rappelée : Le Neuntelstein est un site "paradoxale".
De fait, il est sans doute un des plus anciens sites -voir le premier- des sites d'escalade sportive moderne de la région.
A la fin des années 70 et au début des années 80, l'escalade sportive ne s'était pas encore émancipée de la montagne. C'est donc tout naturellement que les précurseurs se sont tournés vers le bout de rocher qui ressemblait le plus à la haute montagne : un sommet à presque 1000 m d'altitude perdu en pleine forêt et ou on évolue sur le regard bienveillant des sommets prestigieux des alpes bernoise et qui plus est offrait (offre toujours d'ailleurs) un merveilleux granit compact comme on les aime.
Voici donc que dans ce qui est devenu le temple de l'escalade sur grès, un des premiers bastions de la grimpe est en granit.
De plus comme il fut un des premiers, nombreux sont ceux qui y ont débuté, forgeant ainsi à ce site une solide réputation de site d'initiation.
Diable, initiation commando car même si la plupart des itinéraires sont courts ils sont particulièrement déroutants et souvent très athlétiques.
Pour le grimpeur de grès et de calcaire que je suis, grimper sur le granit du Neuntelstein est toujours pour moi d'une complexité de lecture phénoménale ; le "à vue" même dans mon niveau habituel est rarissime...
De plus les cotations annoncées sont d'époque et bien tassé, d'ailleurs si on regarde l'évolution de topos en topos, il n'est pas rare de voir des cotations s'offrir un petit "plus" d'édition en édition.
LES DALLES
"LA RACINE"
A noter quand même que le site est composé de trois secteurs différents et depuis un récent lifting, il offre un réel secteur d'initiation avec de magnifique dalles n'excédants pas le 3 et permettant l'apprentissage de l'escalade en tête et même en plusieurs longueurs.
"LA RACINE"
Attardons nous sur le secteur dit "la racine". Des deux autres secteurs, il est le moins hauts, les voies n'y dépassent pas les 10 mètres mais il comporte quelques perles notamment "le mur" en 7A
Deux départs sont possibles pour cette magnifique ligne, le départ de gauche est monstrueux et je n'imagine pas comment il peut être réalisable...
Le départ de droite est à peine plus simple mais il se laisse apprivoiser. Il m'a fallut de (très) nombreux essais et de nombreuses séances de travail pour décoder les passages et les enchaînements. Départ en équilibre à moitié dans un dièdre, traversée finaude toute en muscle (j'ai encore mal aux abdos de ma séance de ce matin) , placement, détermination, adhérence et force pour se sortir du crux pour un deuxième moitié de voie plus abordable. Un régale mais un régale qui se mérite.
Heureusement comme pour presque toutes les voies du sites il est possible de se rendre au relais (ou aux arbres en faisant office) à pied. Dans mon cas pour ne pas me fâcher avec mes potes, vu le travail considérable que je dois faire pour avoir une chance de réaliser la voie, je travaille en auto assurance... J'ai bien cru ce matin que j'allais pouvoir passer à autre chose mais , à un rien près, à un cheveux d'ange ... Caramba c'est raté.
Je trouve la voie tellement belle que je suis toujours aussi motivé et j'espère que d'ici la fin de la semaine...
dimanche 9 novembre 2008
Ca y est !!!! et de 100
Escalade en Alsace
Après quelques semaines difficiles et d'errements, une confiance travaillée dans les toits de "Roc en stock" avec beaucoup d'échecs et de reculades, mais aussi quelques réussites déterminantes ; nous revoilà de retour au Kronthal, malgré une météo capricieuse.
Arrivée solitaire à 9 h 00 du matin et premier tour de chauffe dans l'éternel "temps des groseilles (5c) " gentil et archi répété.
Puis retour vers une voie mise en peu en sourdine, qui devait être ma 100 ème en 6b ou +, annoncée comme tel objectif dès la mi juillet et ratée à l'époque.
Ma forme du moment, n'a d'ailleurs pas laissé prendre la place à une aucune autre prétendante. Presque 4 mois sans aucune réussite à l'extérieure en tête, ça mine.
Donc il fallait reprendre les choses là où je les avaient laissées : MERLIN L'ENCHANTEUR (ex 6B+ devenu 6 C dans le dernier topo et comme dirait Laure Eale : "parce qu'elle les vaut bien" d'accord je sort ...])
C'était pas gagné et après un premier essai, je n'y croyiais guère. Le deuxième m'a vu arrivé carbonisé en haut de la voie juste avant de devoir faire la dernière traversée et monter sur le "surplomb" juste en dessous du relais. J'étais persuadé que ma main gauche n'allait pas tenir assez longtemps que j'allais me vautrer et c'est à ce moment là que j'entends mon assureur gueuler : "aller putain fais l'effort !"
Je connais le pouvoir des encouragements mais, dans ce cas précis, cela a fait toute le différence, merci SF grâce à cette petite phrase, je me suis engagé malgré une prise de main que je pensais ne pas pouvoir tenir suffisamment et ... la 100 est dans la poche !
Au delà du fait que ce soit la 100, c'est surtout la fin d'une longue période sans réussite et ça fait un bien fou au moral.
Regonflé, nous avons été faire un tour dans "chaos technique (6C)" qui lors de notre dernier passage nous avait bloqué au deuxième point. Impossible de passer !
Eh bien aujourd'hui, même si elle n'est pas encore enchaînée, tous les pas sont faits et sa réalisation semble plus aisée que Merlin ...
Un objectif qui devrait tomber vite - à suivre -
P.S. les photos datent de cet été avec en guest star Bruno.
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